S'y trame Dans cette chaleur,
Et ton espace fluide
Et un repos tendu.

C'est dans cette rue que nous passions,
Hésitants. La voie ouvrait à un ciel jaune
Ces soirs d'étés.

Retour à toi. Maintenant:
A l'heure du givre et du soleil,
Et à cette onde exactement  

S'ils n'y habitaient pas,
Ni l'éclat, ni cette joue rose...
Nul ne saurait comment y vivre.

Sans doute la terre en est porteuse .
Parmi une centaine de s i g n e s,
Quelques pointes de flèches.

Il y a ces courages ébènes,
Cette eau lucide et ses rives de sel ;
Et la fraicheur d'un rire plein.